Spencer Long de Genesus

Les producteurs canadiens, comme une grande partie du monde, font actuellement face à des prix élevés des aliments pour animaux. Cela a un impact sur la rentabilité malgré les prix élevés du porc au détail. Il semble y avoir peu ou pas d'expansion réelle du troupeau de truies en raison des coûts de construction élevés et d'un marché du porc qui n'est pas très extatique. En 2023, les prix du porc devraient à nouveau être élevés et, espérons-le, les coûts des aliments pour animaux diminueront afin que les producteurs puissent être rentables. En 2022, la production agricole canadienne a rebondi après une mauvaise année 2021. Les exportations de blé étaient de 15 Mt en 2021 et de 26 Mt cette année, soit une augmentation de 73 %. Cet afflux de blé au Canada et dans le monde est une bonne nouvelle dans un marché de plus en plus volatil.

Nous assistons à l'échelle mondiale (principalement uniquement dans les pays occidentaux) à un effort des dirigeants politiques pour réduire les émissions agricoles. Cet effort de leur part aura un impact considérable. Nous avons vu des agriculteurs néerlandais protester contre le projet du pays de réduire de moitié le bétail du pays, la Nouvelle-Zélande prévoit de taxer les émissions agricoles d'ici 2025, les agriculteurs irlandais devraient réduire leurs émissions de 25 % avant 2030, le Danemark souhaite que le secteur agricole réduise ses émissions de 65 %, etc. Cela mettra les gens au chômage. Cela rendra également la nourriture plus chère pour tout le monde, s'il y a moins à manger, les prix augmenteront. Au Canada, nous avons aussi un gouvernement qui semble être contre l'industrie agricole. Plus tôt cette année, il a été signalé que le Canada voulait réduire les émissions d'engrais de 30 % d'ici 2030. Parmi une énorme quantité de contrecoups, le gouvernement a déclaré qu'il ne s'agirait pas d'une interdiction, mais plutôt d'un objectif. Connaissant les libéraux de Trudeau, s'ils voient d'autres pays taxer/réduire drastiquement les émissions dans le secteur agricole, ils voudront monter à bord et rejoindre le parti. Ils le font déjà. Les libéraux de Trudeau vont tripler la taxe sur le carbone déjà existante qui, selon les estimations, coûtera à une ferme de 5,000 150,000 acres XNUMX XNUMX $ par an en taxes sur le carbone. Cela semble être une excellente économie et durabilité pour notre secteur agricole.

Dans une population mondiale en constante augmentation, il semble absurde de réduire la production dans des régions du monde qui produisent une énorme quantité de nourriture pour le monde entier. Franchement, c'est odieux de proposer des mesures aussi drastiques alors qu'en 2022 la faim dans le monde a augmenté, et non diminué. Il n'est pas surprenant d'entendre des plans aussi insensés de la part de dirigeants et de gouvernements du monde entier qui volent en jet privé vers des sommets sur le climat où ils discutent et décident de la façon dont l'agriculteur moyen est mauvais. Ils sont évidemment contre nous. Notre propre premier ministre du Canada vraiment spécial, Justin Trudeau, fait payer au contribuable la facture de sa facture d'épicerie annuelle de 55,000 XNUMX $. Nous vivons vraiment dans un pays si spécial où notre premier ministre peut dépenser plus que le revenu moyen d'un Canadien en une année rien que pour l'épicerie de sa maison. Il semble vraiment aimer la nourriture; Je ne sais pas pourquoi il est si contre l'industrie agricole canadienne alors.

Références:

https://www.graincentral.com/markets/production-rebound-in-canada-sees-exports-bounce/

https://nationalpost.com/news/politics/canadian-taxpayers-on-hook-for-55k-of-trudeau-familys-annual-grocery-bill

https://okotoksonline.com/articles/liberal-policy-a-concern-for-the-agriculture-sector

https://www.worldvision.ca/stories/food/world-hunger-facts-how-to-help

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Cette publication a été écrite par Genesus