Spencer Long, directeur du marketing Genesus

L'inventaire canadien de tous les porcs et porcs a été publié pour le 1er janvier 2024. Le rapport montre qu'il est en baisse de 1 pour cent par rapport au 1er janvier 2023 et de 3 pour cent par rapport au 1er janvier 2022. Les pertes subies ont été préjudiciables à l'industrie en Au Canada, ce qui a entraîné une diminution des chiffres, cette diminution se poursuit. La province de Québec qui était le plus grand producteur au Canada a connu une forte diminution de son cheptel reproducteur (-10% au cours des deux dernières années) en raison de la fermeture des abattoirs et de la débâcle financière en cours. Le nombre total de porcs dans les fermes québécoises au 1er janvier 2024 était en baisse de près de 5 % sur l'année. Le Québec a un programme qui permet aux producteurs de demander une compensation qui ont fortement réduit leurs troupeaux ou qui ont complètement quitté l'industrie. On rapporte que 20 % des producteurs ont fait une demande. Il y a 2,300 460 fermes porcines au Québec de tailles diverses, donc environ 2.4 fermes ont demandé ce programme pour quitter complètement l'industrie. En revanche, les effectifs de l'Ontario sont restés plutôt stables, tandis que le cheptel du Manitoba a augmenté de XNUMX %. Pour de nombreux producteurs de l'Est du Canada, les abattoirs pleins en Ontario et les usines fermées au Québec ont obligé davantage de producteurs à expédier leurs porcs aux États-Unis. Avec les chiffres actuels en Ontario et malgré la diminution des chiffres au Québec, les expéditions de porcs vers le sud continuer.

Les États-Unis viennent d’annoncer une nouvelle règle exigeant que la viande, la volaille et les œufs étiquetés comme produits américains proviennent d’animaux nés, élevés, abattus et transformés dans le pays. Il sera intéressant de voir son impact. Avec le flux constant de porcs canadiens vers les États-Unis, il reste à voir quel sera l'impact de cette décision sur le porc portant l'étiquette « Produit des États-Unis ». Quelle quantité de porc est maintenant étiquetée « Produit des États-Unis », alors qu'il s'agit en fait de porcs nés au Canada avant d'être élevés, abattus ou transformés aux États-Unis ? Cela reste à voir, mais cela pourrait certainement avoir un impact sur la façon dont le porc sera étiqueté à l'avenir. Le Canada exporte environ 4 millions de porcs d'engraissement par an vers les États-Unis ainsi que plus d'un million de porcs de marché, de truies et de verrats. La façon dont le porc de ces porcs est étiqueté aux États-Unis sera différente, mais il ne fait aucun doute qu'une grande partie de ce porc est étiquetée « Produit des États-Unis » avant ce nouveau changement de règle par le gouvernement américain. Le porc étiqueté « Produit des États-Unis » qui n'entre pas dans les paramètres de ces nouvelles règles ne connaîtra aucun changement immédiat, car les nouvelles règles n'entreront en vigueur qu'en 1, ce qui laisse beaucoup de temps aux entreprises pour s'adapter.

En Avril 1st (à juste titre le poisson d'avril), la taxe sur le carbone au Canada devrait augmenter de 23 % par rapport à son montant actuel. Cela amènera les agriculteurs et tous les consommateurs canadiens à payer davantage pour la croisade du gouvernement Trudeau visant à rendre la vie plus inabordable tout en apaisant les suzerains du Forum économique mondial. Le gouvernement canadien semble penser qu'un pays de 40 millions d'habitants (0.5 % de la population totale mondiale) aura un impact considérable sur la décarbonisation mondiale et résoudra de manière étonnante le « changement climatique ». Pour rappel, l'Inde et la Chine (35 % de la population mondiale totale) construisent continuellement davantage de centrales électriques au charbon et n'ont pas de taxe sur le carbone. Les conséquences considérables de la taxe canadienne sur le carbone et son coût réel pour le pays sont pour le moins incroyablement inégaux. Les données et les faits présentés par le gouvernement fédéral ne sont pas exacts. Le gouvernement prétend que la plupart des Canadiens reçoivent plus d’argent d’une remise qu’ils n’en versent (la plupart verront cependant une perte nette, comme l’a rapporté le directeur parlementaire du budget, un organisme non partisan). Cela n'est pas surprenant venant d'un gouvernement fédéral qui ne sait que mentir et inciter les Canadiens à penser comme un gouvernement totalitaire le fait envers son peuple et quand vous pensez différemment, ils qualifient cela de « désinformation » ou de « politique de droite ». La taxe sur le carbone augmente en fait le prix des aliments à l'épicerie et, avec des augmentations qui auront lieu le 1er avrilst pour les agriculteurs, cela ne contribuera pas à réduire ce coût. L’utilisation des banques alimentaires au Canada atteint des niveaux sans précédent. Il est incompréhensible qu’une taxe sur le carbone, qui représentera une perte nette pour la plupart des Canadiens, contribue à réduire son utilisation. Le coût de la taxe sur le carbone pour les agriculteurs canadiens est destructeur, c'est une taxe supplémentaire pour une entreprise qui est déjà assez difficile lorsque les choses vont bien sans toutes les formalités administratives inutiles du gouvernement. Ce coût devra inévitablement être répercuté sur le consommateur canadien, qui est déjà en difficulté. La taxe carbone n’est pas seulement une taxe stupide qui nuit aux gens, elle nuit également à la fourniture d’aliments sûrs dont a besoin une population mondiale croissante. Il y a une raison pour laquelle Trudeau et ses libéraux sont décimés dans les circonscriptions agricoles : les gens qui produisent la nourriture que lui, ses amis et ses amis mangent connaissent les conséquences considérables que la taxe sur le carbone aura sur leurs moyens de subsistance et sur le maintien de la compétitivité du secteur agricole.

Sources:

https://www.pbo-dpb.ca/en/news-releases–communiques-de-presse/pbo-releases-updated-analysis-of-the-impact-of-the-federal-fuel-charge-on-households-le-dpb-publie-une-analyse-actualisee-de-lincidence-de-la-redevance-federale-sur-les-combustibles-sur-les-menages

https://www.producer.com/news/u-s-finalizes-higher-standard-for-product-of-usa-meat-label/

https://m.farms.com/news/canadian-hog-numbers-decline-for-second-straight-year-207678.aspx

https://www.tvanouvelles.ca/2024/01/29/moins-de-cochons-au-quebec

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Cette publication a été écrite par Genesus